Tarangire

Mardi 21 novembre

Déjeuner au Motel. Des œufs. C’est déjà le deuxième déjeuner du séjour où nous mangeons des œufs. Le médecin nutritionniste qui nous accompagnait trouva le régime un peu haut en cholestérol. Quand Samuel et Prosper arrivèrent, nous avons directement remarqué les cartons d’œufs dans la jeep. Nous allions manger des œufs matin, midi et soir.

Reste à acheter l’eau, ainsi que les boissons pour le Safari. A une pompe essence nous achetons de l’eau à un prix prohibitif. Nous n’achèterons rien d’autres vu les prix pratiqués.

En route pour le Tarangire. La route est asphaltée, et Samuel nous promet une dégustation de café ainsi que l’achat de carte postale. Nous nous arrêtons donc dans un magasin de souvenir. Les cartes postales sont à 1 $ pièces non négociables. Bien sur le reste du magasin est à nous mais nous n’achèterons rien et ne goûterons pas le café, peut-être aussi prohibitif.

Je pense que, par contre, il aurait peut-être été possible de visiter une plantation de café avec dégustation et achat de café.

Nous repartons vers le camping. Le camping est très bien, mis à part les sanitaires. Mais l’expérience m’apprendra qu’il vaut mieux se doucher une fois le soleil levé pour éviter les moustiques et que les toilettes de ces dames disposaient d’un pot beaucoup plus confortable que le trou mit à la disposition des hommes.

Départ pour la découverte du Tarangire. Une fois dépassé les premiers Baobab, nous découvrons notre premier éléphant malheureusement de dos. Après 5 minutes de vain effort, rien n’y fait il ne veux pas se retourner. Nous nous apercevrons par la suite que des éléphants, il y en a à foison. Nous aurons également l’occasion d’admirer des girafes, des antilopes, des impalas.

La pause de midi nous mettra au contact du singe vert. L’explorateur des égouts à ciel ouvert fera l’expérience de la dextérité des primates en y perdant une partie de son pique nique. Quant à une autre, Samuel dut la libérer de l’emprise d’un acacia amoureux. De retour au véhicule, nous constaterons que les singes savent pénétrer dans le véhicule par le toit. Un paquet de biscuit manquant à l’appel.

Le soir venu, un délicieux repas nous attendait. Nous avons décliné l’offre des crudités. Expliqués notre crainte à Prosper. Deux médecins faisait partie du groupe. Ils ont du être convainquant dans leur démonstration, Prosper ne proposa plus jamais de légumes non cuits.
Samuel nous avait déjà quitté depuis notre retour, nous le retrouverions le lendemain matin.

 

Site officiel du Tarangire : http://www.tanzaniaparks.com/tarangire.html