Trek de Poon Hill

Du 08/12/2001 au 13/12/2001

J'arrive au Népal en plein état d'urgence des maoistes ont tués la veille 300 policiers. Et pendant mon séjour à Pokhara une bombe explosera. Le mieux est de partir en trek dans la montagne avec mon guide top.

Après avoir fait controler mon permis je peux enfin explorer les chemins de l'Himalaya.

Au loin une crémation, normalement les cendres doivent être jetées dans le Gange mais ici la rivière fera l'affaire. Tout le long du sentier, distants de 500 mètres, des guest house pour se nourrir et se loger.

Celles-ci sont approvisionnées par les porteurs ou bien les anes qui parcourent les chemins de montagnes et plus on monte en altitudes plus le prix du transport est cher et les biens onéreux. Enfin restons au prix Népalais une chambre 50 francs et un Dal Bat sorte de thali népalais le même prix et c'est a volonté.

Enfin j'arrive au point culminant de mon voyage 3210 mètres. Avec de magnifiques vues sur les Annapurnas. Les Népalais abandonnent de plus en plus leurs cultures pour adopter celle des trekkers. Il suffit de voir comment il sont habillés. Les sport pratiqués sont le criquet et la basket ball.

Combien de temps encore, les népalais voudront ils cultivés leur terrasses avec les buffles au prix d'un dur labeur alors qu'il est si simple d'importer la nourriture de l'extérieur avec les devises des trekkers. On sent ici plus qu'ailleurs les dégats de la mondialisation.